terça-feira, 21 de agosto de 2012

Les PETITIONS & @CTIONS à partager!


 


GAZA : LES ANIMAUX AUSSI… Les zoos de la bande de Gaza sont dans un état pitoyable. Les animaux y manquent de tout – nourriture, soins, cages aménagées. Et quand ils ne sont pas pris pour cibles, ils sont instrumentalisés… PETITION www.wildlifeinwarzones.com/resolution-francaise.aspx à signer & à partager!

Dans le conflit qui oppose depuis de nombreuses années Israël et la Palestine, les êtres humains ne sont pas les seules victimes. Les animaux paient aussi un lourd tribut. Mais leurs souffrances, comme leur mort, ne sont ni comptabilisées dans un camp, ni dans un autre. Encore moins reconnues. Ils font partie des dommages collatéraux. A moins qu’un événement hors du commun les place, pour quelques instants, sous les feux des projecteurs de la presse et de l’opinion publique. Ainsi, en va-t-il des animaux de la bande de Gaza rendus visibles récemment dans la rubrique « faits divers » de certains médias.

Cohabitation morbide
A la suite d’un bombardement, le petit zoo Khan Younes de Gaza a été inaccessible pendant plusieurs semaines. Une grande partie des animaux est morte de faim et de l’absence de soins. Le remplacement des animaux n’étant pas à la portée du zoo, un lion (photo de une), un tigre, un singe et des crocodiles ont été empaillés, avec les moyens du bord. Ils sont désormais ainsi présentés au public dans leur ancienne cage. Dans le Zoo de la joie, l’absence de zèbres a conduit son propriétaire à « zébrer » deux ânes locaux avec des produits colorants pour cheveux.

Situation dramatique
Si ces anecdotes défrayent la chronique et arrachent quelques sourires, la réalité, elle, prête plutôt à pleurer. Cette zone, coupée du monde et dépourvue de tout, n’a pas les moyens d’entretenir et de soigner ses animaux. En plus d’être contraints à la captivité www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/animaux-sauvages-et-captivite/, les 65 rescapés du zoo Khan Younes survivent comme ils peuvent. Aucun vétérinaire n’est formé pour les soigner. Les médicaments et le matériel médical font défaut. Lorsqu’une intervention ou un soin est nécessaire, les instructions sont reçues par téléphone. Ce fut aussi la méthode employée pour empailler les animaux, le personnel n’ayant aucune expérience en taxidermie, pas plus d’ailleurs que pour la prise en charge d’animaux sauvages. L’absence de gardien autorise toutes les aberrations en terme de nourriture des animaux, que le public « gave » de chips ou produits chocolatés. Le cas du zoo de Gaza n’est pas isolé. Les autres zoos du territoire sont dans le même triste état.

Sous la protection de l’Onu
Qu’ils soient captifs ou pas, partout où la guerre sévit, les animaux sont de la chair à canon sans importance. Ce sont les grands oubliés des conflits. C’est pourquoi One Voice a rejoint l’appel de TEO (The Earth Organization) afin d’obtenir de l’Onu une résolution www.one-voice.fr/loisirs-et-compagnie-sans-violence/crime-de-guerre-sur-les-animaux/ qui protégera les animaux et leur espace de vie pendant les conflits, à l’instar des conventions de Genève qui fixent les limites à la barbarie de la guerre pour les humains. Cette résolution permettrait de protéger les zoos, réserves, sanctuaires où les animaux sauvages vivent ainsi que le personnel qui en prend soin. Elle vise également à reclasser en « crimes de guerre » certains dommages causés à des zones protégées telles que les réserves naturelles.

Facebook/Solidarité Animale et Planétaire

 

 

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